David Brin Terre texte pdf
Terre
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Broché : 919 pages
Auteur : David Brin
Collection : Custom Stores
ISBN-10 :
Format : Ebook Kindle
Date de Publication : 2016-01-29
Le Titre Du Livre : Terre
Moyenne des commentaires client : 4.1 étoiles sur 5 269 commentaires client
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Au cours d’une expérience scientifique, un trou noir artificiel s’échappe. Le savant responsable, Alex Lustig, sonde désespérément les entrailles de la Terre à la recherche de son bébé égaré, pour découvrir qu’un autre trou noir est déjà en train de ronger inexorablement la substance de notre planète. Tandis que les séismes et autres anomalies se multiplient, Lustig et son équipe vont essayer par tous les moyens de déloger cet intrus ravageur, mais aussi de savoir qui l’aurait mis là...
Rang parmi les ventes Amazon: #13365 dans eBooksPublié le: 2016-01-29Sorti le: 2016-01-29Format: Ebook KindleNombre d'articles: 1Présentation de l'éditeurAu cours d’une expérience scientifique, un trou noir artificiel s’échappe. Le savant responsable, Alex Lustig, sonde désespérément les entrailles de la Terre à la recherche de son bébé égaré, pour découvrir qu’un autre trou noir est déjà en train de ronger inexorablement la substance de notre planète. Tandis que les séismes et autres anomalies se multiplient, Lustig et son équipe vont essayer par tous les moyens de déloger cet intrus ravageur, mais aussi de savoir qui l’aurait mis là...Présentation de l'éditeurAu cours d’une expérience scientifique, un trou noir artificiel s’échappe. Le savant responsable, Alex Lustig, sonde désespérément les entrailles de la Terre à la recherche de son bébé égaré, pour découvrir qu’un autre trou noir est déjà en train de ronger inexorablement la substance de notre planète. Tandis que les séismes et autres anomalies se multiplient, Lustig et son équipe vont essayer par tous les moyens de déloger cet intrus ravageur, mais aussi de savoir qui l’aurait mis là...Biographie de l'auteurDavid Brin, né en 1950 en Californie, a obtenu son doctorat en astrophysique en 1981 avant de devenir auteur de science-fiction. Il a également travaillé comme consultant pour la NASA et comme professeur de physique. Ses oeuvres incluent "Le Cycle de l'Elévation", La Jeune Fille et les clones et Terre, parmi d'autres romans et nouvelles qui lui ont valu par trois fois le prix Hugo ainsi que le prix Nebula. Le Facteur fut l'objet d'une adaptation cinématographique, The Postman (1997), réalisée par Kevin Costner, qui y interprétait le rôle principal. David Brin vit dans le sud de la Californie.
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Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Terre. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.
9 internautes sur 9 ont trouvé ce commentaire utile.Beaucoup trop de problèmes divers, malgré des passages brillants, pour que je recommande ce romanPar ApophisUne anticipation en partie brillante, mais en majorité bancale (et surtout datée), des ressorts de l'intrigue complètement irréalistes, une narration trop éclatée, un livre bien trop long et ressemblant beaucoup trop à un essai et pas à un roman, un rythme très mal maîtriséAvant de vous expliquer en détails pourquoi, malgré certaines qualités, je ne conseille pas ce roman, je tiens à préciser une chose importante : j'aime beaucoup David Brin et ce que j'ai lu du reste de son oeuvre. Son cycle Marée Stellaire / Élévation / Jusqu'au cœur du soleil est un modèle en matière d'univers où les races extraterrestres foisonnent et bien évidemment pour tout ce qui concerne le processus consistant à amener des animaux terrestres à une intelligence / conscience de niveau humain. J'ai juste un problème avec ce roman précis, le reste de la production de Brin est parfaitement recommandable.Deuxième précision importante : il ne s'agit que d'une réédition en un tome unique d'un roman sorti chez nous en 1992 en deux tomes, et rédigé en réalité en 1989. Vous allez vite comprendre à quel point cette précision est importante pour juger la qualité du roman.Ce roman est un véritable Planet Opera dont le sujet est' la Terre ! Eh oui, pas besoin d'aller sur Arrakis ou Ténébreuse pour donner dans ce genre là, la bonne vieille planète bleue peut parfaitement faire l'affaire, surtout si on change 2-3 facteurs écologiques, sociaux et technologiques clefs. Attention par contre, malgré ce que vous pourriez imaginer, ce livre ne relève pas de la Hard-SF. Oui, il y a tout un tas d'éléments qui pourraient vous faire croire le contraire, mais comme l'explique l'auteur en personne dans son interminable postface, ils sont soit complètement imaginaires (ses noeuds cosmiques et autres types exotiques de singularités), soit tellement spéculatifs (des couches supraconductrices à très haute température près du noyau terrestre) qu'en pratique, ça revient au même.- La « qualité » de l'anticipationComme l'auteur l'explique en personne dans la postface, les anticipations à moyen terme (ici 50 ans, puisque le roman se passe en 2038 et a été rédigé en 1989) sont les plus difficiles à rédiger. Celles à court terme (moins de dix ans) ont peu de chances d'être complètement invalidées par le cours réel des événements (encore que' voyez plus loin), et celles à long terme (des siècles) laissent assez de marge temporelle pour imaginer pratiquement n'importe quoi.Le gros problème avec Terre est que cette anticipation était quasiment obsolète, sur certains points, lors' de sa sortie ! Dans ce monde, on parle encore de Soviétiques et de mise au ban de la communauté internationale de l'Afrique du Sud, et le monde est supposé connaître une paix universelle dont les racines remontent à la fin de la guerre froide, après un dernier spasme nucléaire (sur lequel nous allons bientôt revenir). On voit donc que ni la petite aventure Koweïtienne de Saddam Hussein, libéré de la tutelle soviétique, ni les régionalismes / nationalismes comme les conflits Georgien ou Tchetchène par exemple, ni le fait que la lutte entre capitalisme et communisme ait été remplacée par la lutte entre monde occidental et interprétation rigoriste de l'Islam n'ont été le moins du monde anticipés. Pour tout dire, ce genre d'anticipation, aussi pacifiste à court terme, me paraît relever de l'utopie au mieux, d'une profonde méconnaissance de la géopolitique au pire (et pourtant, ce ne sont pas les livres qui manquent à ce sujet : il me paraît impossible d'écrire de l'anticipation sur une échelle courte ou même moyenne sans se documenter un minimum, histoire de pondre quelque chose qui tienne la route). Rien que la désintégration violente de l'ex-Yougoslavie et les guerres qui ont suivi étaient complètement prévisibles, en raison du mélange explosif de religions, de langues et de nationalismes régionaux différents et antagonistes que seule la poigne de fer de Tito maintenait sous contrôle. Imaginer que la fin de la Guerre Froide allait libérer de l'argent et des scientifiques pour bâtir un monde en paix et balayer ce genre de point chaud géopolitique me paraît relever d'une vision incroyablement simpliste et naïve du monde.Mais bon, c'est de la fiction, allez-vous me répondre.Autre problème : l'auteur imagine un véritable printemps arabe planétaire contre toute forme de secret, qu'il soit d'Etat ou bancaire. Une sorte de super-Wikileaks qui oblige les nations à signer des traités très draconiens et impulse des changements sociétaux profonds. Ok, je n'ai pas de problème avec ça, ça ne me paraît pas complètement irréaliste. En revanche, là où ça devient délicat, c'est quand l'auteur, dans un délire à la Umberto Eco (avec des tas de groupes secrets veillant sur toutes les petites cachotteries du monde) , imagine que quand la Suisse se fait prier, on passe à une véritable (ultime) guerre, à coups' d'échanges nucléaires et d'armes bactériologiques ! Si vous suivez l'actualité, vous comprendrez facilement à quel point cette anticipation est éloignée de toute vraisemblance (que je sache, le secret bancaire a été levé dans cette région du monde, sans feu d'artifice géant à coup de bombes H). Ce qui ne serait qu'un point de détail agaçant mais mineur si, justement, cette guerre et tout ce qu'il y a derrière ne prenait pas une importance essentielle à la fin du roman. Et là du coup, on commence à se dire que l'anticipation de Brin est vraiment bancale.Bancale ? Oui mais non. Sur d'autres points, la vision du futur de Brin est absolument hallucinante de justesse, comme pour le culte de la surveillance dans une Amérique devenue une démocratie gérontocratique (et comme l'anticipation du fait que dès qu'il se passe quelque chose, le premier réflexe des gens est de déclencher un enregistrement), comme l'évolution des réseaux informatiques (et les changements de mode de vie et de la société concomitants) ou la façon incroyablement juste avec laquelle il a anticipé montres connectées, e-books et tablettes numériques. De même, les conséquences du réchauffement planétaire, bien que volontairement exagérées pour plus d'effet dramatique (expliqué dans la postface, là encore), sont très correctement mises en lumière, comme la création de cet « Etat maritime » par une partie des réfugiés climatiques ou les opérations de récupération de ressources dans les villes englouties. Enfin, les menaces sur la biodiversité sont assez magistralement prises en compte, mais ça n'étonnera pas ceux qui ont lu le cycle Marée stellaire / Élévation. La fibre écologiste de David Brin n'est plus à démontrer.- Narration, personnages et intrigueOutre l'univers, toute la façon de raconter l'histoire présente de nombreux problèmes : d'abord, il y a beaucoup trop de personnages, il aurait mieux valu diminuer leur nombre histoire 1/ de faire plus court, 2/ de faire plus nerveux (l'un n'étant pas forcément synonyme de l'autre'). Certains personnages ne servent qu'à balancer de l'info sur l'univers au lecteur, de façon plus « dynamique » que des injections artificielles d'infos dans de longs passages explicatifs, à la David Weber, Peter Hamilton ou Charles Stross. Mouais, moi j'appelle ça une fausse bonne idée, parce que dans le cas de Brin, ça n'allège pas la narration, bien au contraire. Le type venu du Yukon dans sa réserve africaine, par exemple, aurait à mon avis pu être évacué. Idem pour l'adolescente (certes, sa mère est importante dans l'histoire, mais elle, on peut se poser des questions par contre).Dans l'ensemble, j'ai eu du mal à me passionner pour les personnages. Il y en a trop, et pas assez marquants pour l'écrasante majorité (à part Daisy, à mon humble avis).Pire encore, comme si les personnages ne suffisaient pas, il y a très, très régulièrement de l'injection d'infos directe à coups de discussions (type forums internet) ou d'articles trouvés sur le Web (oups, pardon le Réseau). Donc je résume : on veut faire dans l'habile et l'intéressant en balançant l'info via des discussions entre les persos, et aussitôt après on balance quand-même l'info artificiellement ? Je ne vois pas du tout l'intérêt, personnellement. Le livre en est rallongé, le rythme ralenti, et ça nuit à l'aspect romanesque du livre (voir plus loin). Si vous vous voulez lire un roman sorti grossièrement à la même époque et utilisant ce genre de tchat internet avec beaucoup plus de pertinence, tournez-vous vers Un feu sur l'abîme de Vernor Vinge.Le rythme est très mal maîtrisé : il est d'une lenteur géologique pendant 80 % du livre (avec un twist qui réveille un peu l'intérêt vers 60 %), avant de s'emballer d'une façon démentielle sur la fin, avec une pluie de révélations et de rebondissements. Sachant que même en enlevant la postface et la nouvelle « bonus » se passant dans le même univers on frôle les 900 pages, ça fait beaucoup de temps de lecture avant qu'il ne se passe quelque chose d'intéressant. Avant ça, l'auteur tire à la ligne ou fait du dumping d'infos pour le world building, raconte des détails qui n'ont pas forcément d'intérêt, etc. Moralité : le world-building, c'est bien, mais maintenir l'équilibre entre ce dernier et une narration vivante et intéressante pour le lecteur, c'est mieux. Mission complètement ratée, Mr Brin.- Une fin complètement irréalisteLa fin (qui est très longue, s'étendant sur quelque chose comme plus de 10% du livre) a carrément failli me le faire tomber des mains. C'est la plus énorme liste de moments "non mais sérieusement ?" de l'histoire de la SF : (attention, il y a quelques spoilers par contre)* Daisy développe en un claquement de doigts un contrôle fin sur une technologie que des équipes entières de spécialistes ont mis des mois à maîtriser. Certes, ces spécialistes ont lâché leurs infos sur le Réseau peu de temps auparavant, mais quand-même, c'est « un peu » gros.* Le sort de Jen est du grand n'importe quoi, et je pèse mes mots. Le support physique (difficile d'en dire plus sans spoiler) mis en jeu est du délire pur et simple.* Le sort d'Atlantis et de l'Arche 4 est le truc le plus irréaliste que j'ai pu lire de la part d'un romancier SF, surtout lorsqu'on sait que le type en question a' un diplôme d'astrophysique. Je vais spoiler un peu, mais bon de toute façon ça se sent arriver des kilomètres avant dans le roman : la navette, qui a subi un crash, a vu une partie de ses équipements cannibalisés et est restée exposée aux éléments sans protection pendant des décennies est capable de voler dans l'espace à la fin du livre. Mais bien sûr. Et l'Arche, équivalent high-tech et à grande échelle de Biosphère 2, se retrouve à voler pépère de la Terre à la Lune. Pour info, être étanche et avoir des vitres qui filtrent les UV, c'est très différent d'avoir de la pression terrestre d'un côté et le vide spatial de l'autre, de résister aux rayons cosmiques et aux éruptions solaires, et d'être assez isolé sur le plan thermique pour éviter de voir toute sa chaleur foutre le camp dans le milieu à 3K de l'espace. Pour un astrophysicien, écrire ce genre de bêtises est juste pathétique, et je pèse mes mots.Le seul point intéressant dans la fin est le gros twist à propos d'un des personnages (on va éviter de spoiler en révélant lequel). Chapeau Mr Brin, les indices étaient dissimulés tout le long du bouquin, et personnellement je n'avais rien vu venir.- En conclusionOui, ce roman traite de tout un tas de thématiques intéressantes. Oui, c'est parfois brillant, visionnaire et intelligent. Mais non, je ne recommande pas son achat. Que ce soit sur le plan de la narration, du rythme, des personnages, et surtout de la cohérence, du monde ou de l'intrigue, ce livre souffre de trop de défauts pour que je vous conseille de vous lancer dans ses 900 pages. De toute façon, quand un auteur passe la moitié d'une interminable postface a tenter de justifier ses choix en matière de construction d'intrigue ou d'univers, voire à avouer qu'il sait très bien qu'ils ne reposent sur rien, c'est qu'il y a un gros problème, surtout dans le cadre d'une anticipation.Retrouvez une version plus détaillée de cette critique sur mon blog : cliquez sur mon pseudo ---> vous arrivez sur mon profil ---> cliquez sur l'adresse de mon blog ---> cliquez sur le champ de recherche en haut à droite du menu latéral du blog ---> tapez "Terre" ----> cliquez sur le titre de la critique ---> vous y êtes ! (ou bien : utilisez les pages listant les critiques par Auteur ou par titre du roman - menu en haut du blog-).